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Retour sur le premier pélerinage diocésain des hommes, époux, pères


Les 3 et 4 juillet, 200 pèlerins accompagnés par Mgr Valentin et une dizaine de prêtres, ont marché de Rambouillet en direction du sanctuaire de la Miséricorde de Gallardon (Eure et Loir) pour ce premier pèlerinage des hommes, époux et pères de familles du diocèse.

Tout au long du week-end, les pèlerins ont pu se ressourcer et réfléchir sur la singularité de leur rôle dans la société, et leur proximité avec Jésus. Trois routes ont convergé par petits chapitres d’une dizaine de pèlerins pour se retrouver tous ensemble, lors d’une soirée fraternelle et partager ses intentions de prières, écouter un enseignement de Mgr Valentin autour de la figure de saint Joseph, prendre un temps d’adoration.

Dans ce bivouac de fortune, le sourire était bien présent, autant que les discussions nourries entre pèlerins d’horizons différents, pratiquant réguliers ou plus occasionnels ; le tout soutenu par une équipe ayant assuré des boissons fraiches et un repas chaud à tous !

Des pèlerins venus des quatre coins du diocèse

Plusieurs paroisses de Versailles, les paroisses de Trappes, Elancourt-Maurepas, Vélizy-Jouy-Les loges en Josas, Plaisir et Rambouillet étaient bien représentées et leurs groupes ont su accueillir les pèlerins venus individuellement. Bienveillance et charité fraternelle ont émaillé les temps de rencontre, portés par la prière de tous.

Dimanche, une seule route de pèlerins a rejoint le sanctuaire de la Miséricorde de Gallardon, pour une messe d’envoi présidée par Mgr Valentin. Ceux qui le souhaitaient ont pu y vénérer les reliques de Saint Jean-Paul II, Sainte Faustine et Saint Stanislas.

« J’ai trouvé dans ce pèlerinage vers le sanctuaire de la Miséricorde une nouvelle saveur. La transformation de ce pèlerinage local en pèlerinage diocésain nous a permis de brasser des personnes plus ou moins éloignées de la foi, socialement différentes, de villes des 4 coins du diocèse et même au-delà : ce sont là les ingrédients qui font la grande richesse de notre diocèse et de l’Eglise Catholique de France. L’Eglise peut mourir de l’entre-soi, et ce que nous avons vécu ce week-end est la preuve vivante que l’ouverture à l’autre et au plus pauvre que soi, au sens biblique, est l’avenir d’une Eglise catholique renouvelée et forte. « N’ayez pas peur ! » nous disait Saint Jean-Paul II. Il ne nous reste qu’à appliquer ce précepte pour relever le défi ! » témoigne Guillaume

Un pèlerinage qui devrait se renouveler

Cet évènement, monté par la paroisse de Rambouillet avec le concours du service diocésain des pèlerinages, de la Mission pour la famille se déroule en pleine année Famille Amoris Laetitia. Il a cependant vocation à s’installer dans la durée sur notre diocèse. Alors, pourquoi ne viendriez-vous pas l’an prochain, seul ou en paroisse, rencontrer d’autres hommes du diocèse, pour marcher à la suite du Christ ?